Ah ! Les portillons-composteurs ! Quels bouchons !
En gare de l'Est nous avons maintenant de très beaux portillons-composteurs (je ne connais pas le nom exact de ces engins...), flambant neufs !
Pourtant il y a un HIC : au moment de prendre le train en soirée, on se retrouve souvent à plusieurs sur le même, vu le peu d'engins mis en service dans le sens qui nous intéresse : quelques "verts" pour de multitudes de "rouges", c'est-à-dire pour les gens qui débarquent à Paris en soirée.
Quant au matin, n'en parlons même pas : lorsque des milliers de gens passent en même temps (sortant de trains ultra-bondés), tout le monde bouchonne devant les mêmes composteurs, pas assez nombreux pour recevoir le flot.
Et à côté, tous les "rouges" (sens inverse) sont.... libres, bien sûr !
A ma question de savoir si l'on ne pouvait pas "inverser la vapeur" selon les heures - et surtout les moments de la journée - il m'a été répondu que ces portillons n'étaient hélas pas... réversibles... Ils sont prévus pour fonctionner dans un sens et un seul !!!!!
On n'arrête pas le progrès... Ou plutôt si ! Il semble s'arrêter de lui-même.
A.M ROHM
Pourtant il y a un HIC : au moment de prendre le train en soirée, on se retrouve souvent à plusieurs sur le même, vu le peu d'engins mis en service dans le sens qui nous intéresse : quelques "verts" pour de multitudes de "rouges", c'est-à-dire pour les gens qui débarquent à Paris en soirée.
Quant au matin, n'en parlons même pas : lorsque des milliers de gens passent en même temps (sortant de trains ultra-bondés), tout le monde bouchonne devant les mêmes composteurs, pas assez nombreux pour recevoir le flot.
Et à côté, tous les "rouges" (sens inverse) sont.... libres, bien sûr !
A ma question de savoir si l'on ne pouvait pas "inverser la vapeur" selon les heures - et surtout les moments de la journée - il m'a été répondu que ces portillons n'étaient hélas pas... réversibles... Ils sont prévus pour fonctionner dans un sens et un seul !!!!!
On n'arrête pas le progrès... Ou plutôt si ! Il semble s'arrêter de lui-même.
A.M ROHM